Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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6.06 - Le voleur d'esprit - Partie 1
The Mind Robber (1)
Cherchant un atterrissage d'urgence, le Docteur et ses compagnons se retrouvent dans un espace nommé le « vide » dans lequel ils rencontrent des personnages issus de l'imaginaire.
Diffusion originale : 14 septembre 1968
Diffusion française :
14 septembre 1968
Réalisat.eur.rice.s :
David Maloney
Scénariste.s :
Derrick Sherwin
Guest.s :
Bill Wiesener
,
John Atterbury
,
Terry Wright
,
Emrys Jones
,
Ralph Carrigan
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 11 juin 2020 à 10:30 |
Excellent démarrage plein de mystères avec cette nouvelle dimension dans laquelle notre team se trouve projeté qui exploite à fond le côté minimaliste du décors (un mur blanc) pour en créer un environnement menaçant, car le danger est psychologique. Le cliff final avec le TARDIS qui tombe en morceau dans l’espace et le Docteur inconscient errant dans l’infini est une vraie réussite. |
Il n'y a rien. Pas décors, du vide. Et pourtant, c'est tout et c'est extraordinaire.
Incroyable premier épisode qui repose juste sur un jeu de lumière et des acteurs. C'est l'imagination des spectateurs et spectatrices qui fait le reste. Il faut voir Frazer Hines et Wendy Padbury, seuls au milieu d'une pièce blanche, regarder hors champs une vague menace. Tout Doctor Who est là, dans cette télévision qui projette pour les deux compagnons ce qu'il désire le plus et pour nous aussi, spectateur qui souhaitons voir les deux personnages se mettre en danger. Pour le bien de la fiction. Pour notre désir de divertissement.
Et puis, il y a cette dernière image du Tardis qui se désintègre, faisant tomber littéralement les murs de la fiction. Pour ne laisser au fond que l'essentiel : des acteurs entrainés dans un vertige sans fin, tournoyant dans le noir. Et la lumière qui vient les frapper, pour remettre à l'image la substantifique moelle de ce qu'est cette série : du danger et de l'inconnu qu'on a toujours envie d'explorer.
Difficile de faire un meilleur début.